Catalogue - page 1

Affiche du document Petit Louis

Petit Louis Le plus jeune compagnon de la Libération

Jean-Christophe Notin

  • Essais
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« Petit Louis », c’est le pseudonyme donné dans la clandestinité à un jeune garçon hors du commun : Lazare Pytkowicz, héros entré dans la Résistance à l’âge de 14 ans.
Né à Paris en 1928, Lazare est le quatrième enfant de Jankiel et Perla, juifs polonais qui ont fui leur pays en proie à la misère et à l'antisémitisme. Artisans modestes, sympathisants communistes, ils rêvaient pour leur famille d’un avenir meilleur. Leur destin devait s'écrire en France…
Le 16 juillet 1942, Lazare est raflé avec les siens et parqué au Vel d’Hiv. Premier exploit : il parvient à s’échapper du vélodrome, mais seul. Ses parents et sa sœur disparaîtront dans l’enfer d’Auschwitz. On lui propose de se cacher loin de Paris, il refuse, il a 14 ans et veut se battre ! A Lyon, il rejoint l’Armée des ombres et devient « petit Louis », agent de liaison pour la Résistance, qui sillonne les rues sur son vélo, des messages codés pleins les poches. Mais un mouchard le dénonce : capturé par les gestapistes de Klaus Barbie, il est tabassé, mais ne parle pas. Nouvelle évasion, il file entre les griffes de ses bourreaux. Arrêté pour la troisième fois à Paris en 1944, par la Milice, il est condamné à la déportation. En route, il profite d’un mouvement de foule pour s’échapper...
A la libération, ce parcours insensé fait de « Petit Louis » un héros national. Nommé à 16 ans dans le prestigieux Ordre de la Libération, il sera désigné toute sa vie comme le plus jeune Compagnon, celui donc qui devait être le dernier. Le destin en a décidé autrement, mais il reste une certitude : Petit Louis avait tout d’un grand résistant. Et d’un grand homme. Ce livre raconte son histoire.
Forfait
Affiche du document Un certain art de vivre

Un certain art de vivre

Dany Laferrière

  • Essais
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Voici l'art de vivre de Dany Laferrière. Sous forme de maximes, de réflexions commentées, de rêveries, cent pages pour devenir soi-même un peu japonais. 

«  J’ai voulu savoir comment les choses s’étaient passées dans cette vie où je n’ai pas cessé de bouger, souvent malgré moi. Toutes ces villes où j’ai vécu (Port-au-Prince, Petit-Goâve, Montréal, New-York, Miami, Paris, Tokyo), assez pour les intégrer en moi sans devenir sédentaire pour autant. Je suis passé, à peine étonné, du sud au nord, du rhum au vin, de l’été à l’hiver, jusqu’à devenir un cerisier en fleurs. J’ai franchi clandestinement les frontières de classes, de races ou encore celles qui séparent un pays d’un autre. J’ai accumulé diverses expériences au fil des jours ensoleillés ou pluvieux, mais je n’avais pas encore évalué ce parcours.
L’été dernier, j’ai découvert sous forme de réflexions fulgurantes, de haïkus langoureux, de descriptions hâtives d’un lieu, d’une situation ou d’un état d’esprit, ce qui s’était passé dans ma vie durant ce dernier demi-siècle. Lecteur horizontal, j’ai choisi de vivre dans ma baignoire ou dans mon lit sans quitter l’espoir qu’une inconnue frappe à ma porte. Je note que la plupart des gens veulent savoir ce que l’écrivain cache alors que je me contente de ce qu’il tente de me faire voir.
Pour rester dans cette simplicité proche de l’enfance, j’ajouterai que je lis une page les yeux ouverts, pour la repasser dans ma tête les yeux fermés. L’eau chaude de la baignoire me permet de fuguer en regrettant de ne pas l’avoir fait à certains moments comme la fois où j'ai manqué de prendre cette petite route de terre qui m’appelle depuis si longtemps, et cela même si j’ignore où elle me mènera. J’ajouterai que c’est quand on n'a rien à faire que le temps devient précieux. Mais pensant que la vie est linéaire, je tente vainement d’en sortir en prenant le bon chemin au mauvais moment. Pour finalement comprendre que ces petites notes, comme des touches de couleur, me dessinent un portrait naïf. Ce mince livre m’aura pris plus de temps qu’aucun autre.  »D.L
Forfait
Affiche du document Au nom des Noirs - États-Unis, 1964 : au coeur du mouvement pour les droits civiques

Au nom des Noirs - États-Unis, 1964 : au coeur du mouvement pour les droits civiques

Robert Penn Warren

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Robert Penn Warren s'entretient avec tous les acteurs du mouvement des droits civiques aux États-Unis. Un fantastique document à la fois historique et littéraire, signé par le triple lauréat du Prix Pulitzer.
En 1964, Robert Penn Warren lance une série d'interviews des représentants du mouvement des droits civiques aux États-Unis. Il rencontre Martin Luther King, Malcolm X, James Forman mais aussi les écrivains James Baldwin et Ralph Ellison, sans oublier de nombreux militants locaux, actifs sur le terrain.

Pour l'auteur de Tous les hommes du roi, il s'agit d'une véritable quête, qui va bien au-delà du reportage ou de l'exercice journalistique. Enfant du Sud des États-Unis, Robert Penn Warren a vécu dans une société ségrégationniste. Il s'interroge sur le poids de cette éducation et sur l'avenir des relations entre communautés. Loin de tout militantisme, il retranscrit ici ses entretiens en veillant à conserver le ton exact des échanges. À l'heure où les questions d'intégration comptent parmi les sujets centraux de nos sociétés, Au nom des Noirs constitue un document exceptionnel où les dialogues sont complétés par les réflexions personnelles de l'un des derniers géants de la littérature américaine.

Historique, introspectif, porté par une exigence jamais prise en défaut et un style unique... cet ouvrage échappe à toutes les classifications. " Il s'agit de ma tentative pour comprendre ce que je pouvais comprendre. J'ai conservé la forme des conversations car je voulais que le lecteur puisse voir, écouter et ressentir ce que j'avais vu, écouté et ressenti. Ce livre devait être le plus honnête possible ", résume Robert Penn Warren.
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Affiche du document L'autre langue des femmes

L'autre langue des femmes

Leonora Miano

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« L’ “autre” langue des femmes, c’est la parole qui émerge lorsqu’elles se définissent pour ce qu’elles sont, pas en fonction de ce qui leur est infligé.
Ce langage fut toujours parlé en Afrique, continent qui enfanta des  dynasties de “grandes royales”, contredisant ainsi la posture victimaire d’un  certain activisme occidental.
S’appuyant sur l’histoire, les mythes, spiritualités et pratiques sociales des Subsahariennes, l’auteur nous initie à un riche matrimoine qui révèle  la variété des potentialités féminines.
Les femmes impressionnantes dont elle nous conte les aventures  régnèrent sur des sociétés patriarcales, donnèrent une terre à leur peuple  en exil, firent du plaisir sexuel un droit, s’engagèrent dans les luttes  anticoloniales qu’elles financèrent souvent grâce à leur fortune personnelle,  furent conscientes de leur valeur en tant qu’individus souverains.
Pourtant, la riche expérience des Africaines subsahariennes reste  méconnue. Sans s’identifier à ces femmes ni voir en elles des références, on  entend leur prescrire un modèle d’émancipation.
La “sororité” reste une vue de l’esprit, compte tenu des rapports de  domination existant entre femmes. L’histoire a doté les unes d’un pouvoir  symbolique, politique et économique dont les autres ne jouissent pas.  Cette dissymétrie fondamentale est occultée par la centralité conférée à la  question de l’hégémonie masculine, censée définir et fédérer les femmes.
Des rapports entre elles, reproduisant l’association de la cavalière et de  la jument, permettent-ils de faire cause commune ? »L.M.
Forfait
Affiche du document Le porteur de cartable

Le porteur de cartable

Akli Tadjer

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  • Livre epub
Et sur sa lancée il m'avait surnommé le porteur de cartable. Son porteur de cartable. Comme je ne savais pas si je devais le prendre comme un compliment, il avait rajouté que c'était un honneur pour moi que d'être comparé aux porteurs de valises du FLN. J'avais acquiescé sans bien comprendre en quoi il était flatteur d'être comparé à un bagagiste.

Paris, mars 1962. En cette fin de guerre d'Algérie, Omar, dix ans, porteur de cartable du FLN, fait la collecte auprès des militants du réseau Turbigo. Tout est clair dans sa tête, jusqu'au jour où « l'ennemi », Raphaël, même âge, rapatrié d'Algérie, naufragé de l'Histoire, débarque sur son palier.
C'est la guerre à la récré, dans la rue, dans l'immeuble.
Mais le monde des enfants n'est pas celui des adultes. Tout ce qui devait les séparer finit par les réunir, comme deux faces d'une même médaille.
Voilà que Omar, le titi parisien, lui révèle la France et donne à cet étranger, venu d'Alger, des leçons d'intégration. Voilà que Raphaël, de son côté, fait découvrir au « p'tit fellouze » l'Algérie dont celui-ci ne connaît rien.
Roman grave, tendre et cocasse sur la guerre, l'amitié, l'enfance, Le Porteur de cartable raconte comme jamais les déchirures de notre proche passé pour mieux célébrer un présent réconcilié.

Né à Paris en 1954, Akli Tadjer a déjà publié Les A.N.I. du Tassili, et Courage et patience aux éditions Lattès. Le Porteur de cartable est son troisième roman.
Forfait
Affiche du document The Yankee Comandante

The Yankee Comandante Une histoire d'amour, de révolution et de trahison

David Grann

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Le comandante yankee, c'est William Alexander Morgan, figure héroïque de la révolution cubaine pour les uns, traître national pour les autres. Cet homme intègre n'aura eu qu'un mot à la bouche : Liberté. Mais aussi : Vengeance. En 1957, il se joint aux forces rebelles menées par Fidel Castro pour libérer Cuba du dictateur Batista. Son mobile : venger la mort de l'un de ses amis, torturé et jeté aux requins pour avoir fourni des armes aux rebelles. Ce renversement politique permet l’accession au pouvoir de Fidel Castro, le même qui ordonnera qu'on le fusille, le 11 mars 1961. Salué pour sa bravoure, Morgan avait obtenu le plus haut grade, celui de commandant, à l'égal de l'autre figure étrangère de cette rébellion, l'Argentin Che Guevara. Cependant, cet Américain proche de Castro éveille bientôt des soupçons... C’est un véritable récit de guerre dont David Grann dévoile ici les péripéties, dans un climat politique brûlant, où l'espionnage est de mise, la trahison une règle. Du moins, le croit-on. Car ce livre, c'est aussi une épopée tragique et sentimentale, le destin hors du commun d'un homme apatride, amoureux d'une guérillera. David Grann entraîne le lecteur dans un véritable thriller, bien qu'il se fonde sur des faits avérés. Il a bénéficié pour ce récit de l'ouverture des archives de la CIA, du FBI et des renseignements militaires. Dans ce reportage de haute volée, Grann fait la lumière sur les idéaux d'une révolution dont l'impact fut mondial et il réhabilite un homme qui y a joué un rôle de premier plan.
Forfait

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